5 Commentaires

Les vidéos, quand vous dialoguez c'est trop bien. Ça me rappelle la 1ère vidéo que j'ai vue du Dr Sikorav , il disait "ma femme c'était devenu mon baromètre"🤓🤓

Expand full comment

oui on a réussi à régler le micro on est pas trop mal là

Expand full comment

Je suis complètement d'accord pour maintenir le lien comme chose essentielle ! Chose que j'essaie de maintenir avec mon fils de 12 ans. Et il y a le problème de certains pédopsychiatres qui suggèrent des idées simples, trop simples "il mange trop..alors qu'il mange sainement." (Il est sous lamictal + Abilify) "La menace du suicide est un chantage il faut pas marcher dans ça!" "Mais tu es un dictateur toi" (en s'adressant à mon fils)...et bien en tant que maman face à son enfant qui parle de suicide on le prend pas à la légère surtout quand on l'a déjà vu essayer de passer à l'acte. C'est très difficile en tant que parent car on est l'intermédiaire entre le pro et son enfant.

J'aimerai bcp que vous parliez de la bipo chez les jeunes ado, quels traitements possibles (lithuim malheureusement 16 ans en France), comment en tant que parent aider son enfant etc...car il y a peu d'informations sur le sujet.

Expand full comment

La thérapie ACT m’a beaucoup aidé ….ainsi que le programme Profamille….

Expand full comment

Ah ! Merci 🙏

J'aurais beaucoup à raconter, en tant que mère, ex-compagne, aidante et pro sur le sujet que vous évoquez dans cette vidéo.

Je m'en tiendrai à ma conclusion personnelle, donc subjective, mais qui valide votre conseil : maintenir et entretenir le lien, prendre soin de la relation est bon pour tout le monde à court, moyen et surtout long terme !

Bien-sûr, il y a aussi des exceptions, et parfois, la relation est tellement toxique et destructrice que ces conseils ne peuvent pas s'appliquer tels quels.

La priorité, reste à se protéger soi, comme dans les avions qui dépressurisent, par exemple 😉.

J'ai bien conscience que c'est plus facile à dire qu'à faire, comme souvent.

J'irai un peu plus loin que vous en ce qui concerne prendre soin du lien, en conseillant d'appliquer systématiquement ce que je dit plus haut : prendre soin de soi est un pré-requis pour pouvoir être moteur dans le maintien de la relation à l'autre, malade.

Il est plus facile, malheureusement, d'entretenir un mal être connu que d'aller vers un bonheur incertain. D'où les comportements extrêmes allant de l'interdit stricte à l'abandon.

L'entre deux, comme vous dites, ça peut être ouvrir un espace de parole pour soi, un pour la famille, quand c'est possible, et un pour le malade, quand il est d'accord.

Ouvrir un espace thérapeutique, parlé, quel qu'il soit, permet d'aller chercher des ressources et de les activer volontairement.

C'est une démarche complexe, à la fois simple et compliquée, qui invite à revisiter son système de croyance, ses certitudes, ses peurs, ces chagrins, avant d'arriver à renouer avec ses forces et ses ressources, et d'en faire quelques chose... Long, pas facile mais tellement utile.

Et puis il y a aussi apprendre à faire avec le regard/ jugement, les conseils et bonnes intentions (celles dont l'enfer est pavé) des autres, famille, voisins, collègues, parfois des amis, sans chercher à plaire ou à convaincre à tout prix que ce qu'on fait c'est la meilleure solution à court terme, et que oui, elle va à l'encontre du discours dominant : d'abord punir / contraindre.

Les thérapies familiales sont faites pour ce genre de situations.

Je vous invite à explorer les travaux de Mony El Kaïm et à visiter le site de François Balta qui regorge d'infos, de fiches de lectures et autres références et documents accessibles et passionnants.

Ce sont des psychiatres

Merci pour vos articles et vidéos 🙏 certains sont éclairants pour la non psychiatre/médecin que je suis.

Bon courage et bon vent pour vos activités.

Expand full comment