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Avatar de Philippe G.

Au delà de la potentielle confusion ou d'éléments délirants potentiellement induits par la charge atropinique, on pourrait se poser la question de savoir si les éléments délirants sont ancrés dans une part de réalité, à savoir se demander s'il n'y a pas d'hyperprolactinémie (secondaire à tous ces dopamine-bloqueurs) aboutissant à une galactorrhée ou une mastodynie qui mimerait la sensation d'être enceinte ?

Hyperprolactinémie réversible avec la baisse/l'arrêt des D2-bloqueurs (ici surtout la loxapine et l'haloperidol, éventuellement l'alimemazine), et l'introduction d'un antipsychotique moins à risque d'hyperprolactinémie, à tout hasard la clozapine au vu des recommandations internationales dans les schizophrénies résistantes.

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Avatar de Pierre H. Vincke

Sans certitude mais au vu de la prescription dégueulasse, je vote syndrome anticholinergique.

Je rajouterais quand même un autre dopamine-bloquant pour être sûr, 1200mg de quétiapine par jour me semble un peu juste 🤣

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