Je ne suis pas d’accord pour dire que le DSM a un aspect psychoéducatif. Il ne permet pas par exemple une compréhension de certains cas d’anxiété anticipatoire où l’attention est tournée vers des fonctions physiologiques volontaires ou involontaires (comme par le rougissement, l’endormissement, l’éjaculation, la déglutition, etc.) avec la crainte que ces fonctions ne se déroulent pas correctement. Il y a souvent un mécanisme d’ascenseur émotionnel entre la crainte et l'apaisement et un cercle vicieux qui se met en place, générant une amplification de la tension anxieuse, qui elle-même augmente la perturbation du processus moteur ou végétatif.
Il n’y a pas non plus d’aspect psychoéducatif du DSM pour les imbrications entre symptômes TDAH et SOC.
Je ne vois pas non plus d’aspect psychoéducatif pour ce qui définit sous l’étiquette « trouble schizophrénique », c’est au contraire une catastrophe au niveau psychéducatif de mélanger des formes cliniques très différentes avec des réponses au traitement différentes, des pronostics différents, bref des véritables maladies différentes regroupées dans un fourre-tout indifférencié. Sans compter que le DSM court-circuite complètement l’examen traditionnel de la psychomotricité.
Ne parlons pas non plus des formes de bipolarité d’allure unipolaire avec des caractéristiques particulières, notamment la labilité de la symptomatologie qui est souvent perceptible au sein même de l’entretien.
je ne suis pas d'accord avec virtuellement tout ce qui a été dit, et c'est pour ça que je trouve ça intéressant de partager ce genre d'opinion :P
le pire étant à mon avis de mettre des étiquettes, des noms, des troubles, sur des choses qui sont tellement grossières qu'elles n'ont de diagnostic que le nom
Je ne suis pas d’accord pour dire que le DSM a un aspect psychoéducatif. Il ne permet pas par exemple une compréhension de certains cas d’anxiété anticipatoire où l’attention est tournée vers des fonctions physiologiques volontaires ou involontaires (comme par le rougissement, l’endormissement, l’éjaculation, la déglutition, etc.) avec la crainte que ces fonctions ne se déroulent pas correctement. Il y a souvent un mécanisme d’ascenseur émotionnel entre la crainte et l'apaisement et un cercle vicieux qui se met en place, générant une amplification de la tension anxieuse, qui elle-même augmente la perturbation du processus moteur ou végétatif.
Il n’y a pas non plus d’aspect psychoéducatif du DSM pour les imbrications entre symptômes TDAH et SOC.
Je ne vois pas non plus d’aspect psychoéducatif pour ce qui définit sous l’étiquette « trouble schizophrénique », c’est au contraire une catastrophe au niveau psychéducatif de mélanger des formes cliniques très différentes avec des réponses au traitement différentes, des pronostics différents, bref des véritables maladies différentes regroupées dans un fourre-tout indifférencié. Sans compter que le DSM court-circuite complètement l’examen traditionnel de la psychomotricité.
Ne parlons pas non plus des formes de bipolarité d’allure unipolaire avec des caractéristiques particulières, notamment la labilité de la symptomatologie qui est souvent perceptible au sein même de l’entretien.
je ne suis pas d'accord avec virtuellement tout ce qui a été dit, et c'est pour ça que je trouve ça intéressant de partager ce genre d'opinion :P
le pire étant à mon avis de mettre des étiquettes, des noms, des troubles, sur des choses qui sont tellement grossières qu'elles n'ont de diagnostic que le nom
Ben, si ça n’avais pas suscité mon intérêt, je n’aurais pas réagi, donc c’est cool de l’avoir traduit, merci encore.
Un trésor humaniste à lire et à partager Grand Merci !