Je n’aurais pas traduit drive par compulsion, les termes n’ayant rien à voir. Drive est une « impulsion », avec souvent l’idée d’un désir qui fait l’objet d’un contrôle préalable et d’une décharge des tensions internes. Une compulsion appartient au registre des TOC, c’est un acte vécu comme contraignant, qu’on ne peut pas s’empêcher de faire même si la personne reconnaît l’absence d’utilité, voire l’absurdité.
L’idée de différencier les concepts est de voir comment ils se recoupent dans certaines situations cliniques.
Je n’aurais pas traduit drive par compulsion, les termes n’ayant rien à voir. Drive est une « impulsion », avec souvent l’idée d’un désir qui fait l’objet d’un contrôle préalable et d’une décharge des tensions internes. Une compulsion appartient au registre des TOC, c’est un acte vécu comme contraignant, qu’on ne peut pas s’empêcher de faire même si la personne reconnaît l’absence d’utilité, voire l’absurdité.
L’idée de différencier les concepts est de voir comment ils se recoupent dans certaines situations cliniques.
Je n'avais même pas pensé au DSM, je rajoute ça merci
Je vois pas ce que tu veux dire
à la compulsion en mode DSM
J’utilise le mot compulsion selon la tradition clinique, pas selon Karila